Protestations de droit du travail en France: « Ce sont des gens qui, pour la plupart, ils sont venus à la recherche d'un combat, » a déclaré le porte-parole du ministère de l'intérieur, Pierre-Henry Brandet
Paris-le choc du bataillon de la police parisienne a arrêté 27 personnes après des affrontements avec des dizaines de jeunes phoques à capuchon et masqués sur la Place de la République, dans le centre de Paris, dans les premières heures de vendredi, après une journée de manifestations distinctes demandant des réformes du travail qui sont également marquées par la violence.
Dans les premières heures de la matinée, la police a dispersé un groupe d'environ 150 jeunes qui refusaient de quitter la place immense, qui a été occupée tous les jours dans le mois dernier par des manifestants pacifiques essentiellement.
Le retrait s'est produite à la suite des affrontements répétés entre la police et les occupants, incendié des voitures et lancé des pierres, retirés de la rue, le ministère de l'intérieur a déclaré dans un communiqué. Le ministère a indiqué que 24 des 27 détenus ont été placés en garde à vue.
« Ce sont des gens qui, pour la plupart, ils sont venus à la recherche d'un combat, » a déclaré le porte-parole du ministère de l'intérieur, Pierre-Henry Brandet.
Les affrontements de la fin jeudi soir suivi une journée de marches où des dizaines de personnes ont été arrêtées.
La violence s'est produite à la périphérie de manifestations impliquant des dizaines de milliers de personnes qui se sont plaints une loi qui rendra l'embauche et les licenciements plus faciles dans un pays où la protection des travailleurs est sacrée et le chômage est au plus de 10 %.
Au total, la police a rapporté 124 arrestations pendant les protestations et manifestations jeudi, dans lequel 24 policiers ont été blessés, l'un dans un état critique après avoir reçu un coup qui a fracturé son crâne.
Le chef de police de Paris, Michel Cadot, dit hautement organisées et méthodiques des groupes sont derrière la violence venant des épisodes en cours malgré l'état d'urgence règles imposées depuis les attentats meurtriers islamiques de novembre.
Le gouvernement Français a répudié la violence, mais, étant une année de l'élection générale, semblent disposés jusqu'à présent à ne pas avoir recours à l'adoption d'un couvre-feu partiel, tel que prévu par l'état d'urgence en vigueur.
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