quarta-feira, 27 de abril de 2016

Médecins transplantées chez les personnes vivant avec le VIH foie

Amostra de pessoa que vive com HIV é vista em laboratório que realiza pesquisas sobre Aids em 13 de setembro de 2013, na cidade de Abidjan, na Costa do Marfim
VIH: «Cette première greffe réalisée en Suisse ouvre de nouvelles perspectives pour les personnes vivant avec le VIH"

médecins suisses réalisés en Octobre ici à 2015 première transplantation du foie dans le monde entre deux personnes vivant avec le VIH, selon un communiqué publié à Genève, après six mois d'observation du patient.

L'annonce a également publié un article dans l'American Journal of Transplantation, a été faite après une opération similaire réalisée par des médecins américains le 15 Mars, 2016, également présenté en première mondiale.

Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) rapportent que six mois d'observation ont montré qu'il n'y a pas de rejet de la perte de contrôle du récepteur organe ou d'un virus.

"Cette première greffe réalisée en Suisse, qui vient d'être suivie par d'autres greffe similaire aux États-Unis, ouvre de nouvelles perspectives pour les personnes vivant avec le VIH," mettre en évidence les HUG.

Cela signifie que les personnes vivant avec le VIH peuvent déclarer donneurs potentiels d'organes, et en même temps, ceux qui sont en attente d'un organe ont de meilleures chances d'être exploité.

La loi suisse sur les donneurs d'organes autorise depuis 2007 les transplantations d'organes entre donneurs et receveurs séropositifs, mais il a fallu huit ans à la première opération.

"Il y a deux raisons: d'une part l'ignorance de la part des médecins et des patients atteints du VIH cette disposition dans la loi et de l'autre, le problème de la compatibilité nécessaire entre le donneur et le receveur", a déclaré à l'AFP Nicolas de Saussure, porte-parole du HUG.

Dans ce cas, le donneur était un homme de 75 ans, qui est mort après une hémorragie cérébrale. Il était séropositif depuis 1989 et avait autorisé le don de leurs organes.

Le récepteur a été diagnostiqué séropositif en 1987 et a été informé avant l'opération des risques supplémentaires possibles. Il a accepté les risques.

Dans une interview, le récepteur, qui souffrait d'une maladie grave du foie, a dit qu'il était sur la liste d'attente pour deux ans et demi.


La greffe a été réalisée par une équipe intégrée par le professeur Alexandra Valmy, directeur de l'unité VIH, le professeur Thierry Berne, médecin-chef du service de transplantation, le professeur Christian van Mendel, directeur des transplantations d'unité des maladies infectieuses, et le professeur Emiliano Giostra, spécialiste des maladies du foie.

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