segunda-feira, 18 de julho de 2016

Le Premier ministre de la France est hué en hommage aux victimes de Nice




Paris, Juillet 18 (EFE) .- Le malaise de la population française avec le gouvernement par Nice massacre, entraînée par l'opposition a critiqué les mesures de sécurité, il a été confirmé lundi, lors de l'hommage aux 84 victimes de attaque, lorsque le premier ministre du pays, Manuel Valls, a été hué et insulté.

Si certains habitants de la ville ont avaient protesté contre l'arrivée du président François Hollande, vendredi, Valls a dû faire face aujourd'hui un niveau plus élevé de soulèvement populaire dans le troisième et dernier jour de deuil national décrété après l'attaque.

Certains des 42.000 personnes se sont rassemblées pour l'hommage officiel sur la Promenade des Anglais, où le tunisien Mohammed Lahouaiej Bouhlel couru des centaines de personnes, appelé le premier ministre de «meurtrier» et a appelé à sa démission.

"Les huées et les insultes ne sont pas dignes d'une cérémonie en l'honneur des victimes. Le but est de préserver l'unité nationale et ne pas créer la division et de la haine», a déclaré Valls peu après l'édition numérique du journal local "Nice Matin".

Par protocole, Valls a été accompagné dans la minute de silence l'ancien maire de Nice et président actuel de la région, le conservateur Christian Estrosi, l'un des arrangements de sécurité les plus critiquées monté le dernier jour 14 pour le parti Bastille Day.

"La police et la présence militaire était insuffisante," Estrosi a déclaré récemment dans une de ses nombreuses attaques contre le gouvernement, qui a utilisé 64 agents de police fédéraux, 42 locaux et 120 militaires pour patrouiller le gros local par le terroriste à Nice.

Ce fut la première fois qu'il y avait une protestation énergique contre un représentant du gouvernement après une grande tragédie dans le pays. Au cours des 18 derniers mois, le pays a connu l'attaque du magazine "Charlie Hebdo" en Janvier de cette année, les attaques simultanées du 13 Novembre, 2015, mais jamais auparavant ont les citoyens avaient agi de cette façon.

La demande en mariage faite par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, après avoir assisté à une réunion avec Hollande et les ministres de la sécurité et de la défense n'a pas servi à apaiser les âmes des habitants de Nice.

"Nous ne pouvons pas garantir un risque zéro. Je le dis aux Français, car il est la vérité. Vous ne pouvez résister dans un pays si durement attaqués si nous disons la vérité aux Français et si nous sommes prêts à relever les défis ensemble," at-il dit.

Le ministre, qui a dit qu'il va mettre en place un régime spécial de sécurité sur les plages, des centres touristiques et des grands événements sportifs et culturels au cours de l'été, a également envoyé un message Hollande à l'opposition conservatrice et l'extrême droite, qui, après l'attaque mobilisée pour critiquer le gouvernement et le président.

Hollande, Cazeneuve dit, souligne «l'obligation de la dignité et de la véracité de ceux qui ont une voix publique» en référence directe à l'ancien président Nicolas Sarkozy, qui a dit hier soir que le gouvernement n'a pas fait assez pour protéger la France.

«Je suis chef de l'Etat, je sais qu'il n'y a pas de risque zéro, mais pas tous fait ce qui aurait dû être fait il y a 18 mois", a déclaré Sarkozy dans une interview avec la station de radio "TF1" lorsqu'on les interroge sur l'attaque à Nice dernière quinta- équitable.

Le gouvernement a répondu par une longue déclaration dans laquelle se rappelait, entre autres choses, l'embauche de 9000 nouveaux agents de police et de l'approbation des trois lois antiterroristes. En outre, il a déclaré que plus de 1200 personnes ont été traitées par le djihadisme, et que les autorités ont empêché 16 attaques depuis 2013.

Néanmoins, sept sur dix méfiance française de la politique de lutte contre le terrorisme Hollande et son gouvernement, selon un sondage réalisé par l'Institut Ifop pour le journal "Le Figaro".

Avec moins d'un an des élections présidentielles en France, l'extrême droite ont profité de l'absence de climat de confiance dans le gouvernement et les huées Premier ministre à Nice à dire que les Français veulent déjà une nouvelle direction dans le pays.

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